mercredi 25 octobre 2017

Maroc: Mohamed VI limoge trois ministres pour dysfonctionnements et retards dans l’exécution de projets




Maroc: Mohamed VI limoge trois ministres pour dysfonctionnements et retards dans l’exécution de projets




Trois ministres marocains ont fait les frais des conclusions d’un rapport relatif à la mise en oeuvre de projets de développement dans la région d’Al-Hoceima dans le Rif marocain en proie à des troubles de protestations contre les conditions de vie de ses habitants.
Le rapport d’audit commandité par le roi pour déterminer les raisons de la mise en oeuvre d’un ambitieux programme dans la région doté de 600 millions d’euros, pointe des “dysfonctionnements” et des retards injustifiés mais pas de malversations ni détournements.
Ainsi les ministres de l’Education, Mohamed Hassad, qui était à l’époque de la signature de la convention de ce programme en octobre 2015, ministre de l’Intérieur, de la Santé Houcine El Ouardi et de l’Habitat Nabil Benabdellah, ont été limogés.
Larbi Bencheikh, secrétaire d’État chargé de la formation professionnelle, à l’époque directeur de l’OFPPT, un organisme public, et Ali Fassi Fihri, patron de l’Office national de l’électricité et de l’eau (ONEE), ont également été relevés de leurs fonctions.

Vacances ou soins de santé, les séjours à l’étranger de Mohamed VI sont de plus en plus fréquents et longs. Si l’absentéisme du roi est régulièrement critiqué sur les réseaux sociaux, son entourage et les cercles diplomatiques s’en inquiètent... en sourdine.

Vacances ou soins de santé, les séjours à l’étranger de Mohamed VI sont de plus en plus fréquents et longs. Si l’absentéisme du roi est régulièrement critiqué sur les réseaux sociaux, son entourage et les cercles diplomatiques s’en inquiètent... en sourdine.
Quand le communiqué de la maison royale est tombé, dans la soirée du jeudi 12 octobre, une bonne partie de la classe politique marocaine a poussé un « ouf ! » de soulagement : le roi Mohamed VI allait donc être présent le lendemain à Rabat pour présider, comme à l’accoutumée, la séance qui ouvre l’année parlementaire. La rumeur avait couru que le monarque pouvait prolonger son séjour en France et charger le prince Moulay Hassan, son fils de 14 ans, de prononcer à sa place le discours inaugural, retransmis en direct à la télévision.
Depuis le début de son règne, Mohamed VI s’est souvent absenté de son royaume. Ses séjours à l’étranger sont cependant devenus de plus en plus fréquents et cette année, il a probablement battu un record. Pendant les six mois du milieu de l’année, entre le 1er avril et le 30 septembre, il est resté 81 jours en dehors du Maroc, c’est-à-dire 45 % de son temps.

De Cuba à la Floride

Selon les informations rapportées par la presse marocaine, le souverain a été, du 7 avril au 14 mai, successivement en vacances en famille à Cuba et en Floride, puis seul à Paris et à Betz, un village de l’Oise où la famille royale possède un château au milieu d’un parc de 70 hectares ; du 6 au 14 juillet et du 21 au 31 août, il est encore retourné en France. Enfin, il est revenu à Paris le 4 septembre, pour se faire opérer 48 heures après d’un ptérygion à l’œil gauche qui s’étendait sur la cornée.
L’opération, pratiquée à l’hôpital des Quinze-Vingts, aurait pu être faite au Maroc. « Il s’agit d’une intervention ophtalmologique banale, largement maîtrisée par nos compétences locales », signalait le docteur Othmane Boumaalif dans le journal numérique marocain Le Desk. Le professeur Jean-Philippe Nordmann, chef de service, et Abdelaziz Maaouni, médecin personnel du roi, ont prescrit à Mohamed VI « un repos de 15 jours », selon le communiqué signé conjointement le 6 septembre. Son séjour à Paris durera cependant 23 jours.
Mohamed VI est finalement revenu au Maroc le 30 septembre et, comme c’est souvent le cas lors de son retour, il a eu pendant 48 heures une intense activité. Il a notamment présidé le 2 octobre un conseil des ministres consacré, entre autres, au programme de développement d’Al Hoceima, la capitale culturelle de la région frondeuse du Rif qui lui a donné tant de fil à retordre depuis fin octobre 2016. Souvent, ce sont les inaugurations qui se succèdent, à peine le roi rentré au pays. Nombre d’entre elles ne sont pas vraiment du niveau d’un chef d’État. Le roi a inauguré, par exemple, une piscine municipale à Oujda en juillet 2008, une tâche qui en Europe reviendrait à un conseiller municipal ou, tout au plus, à un maire.
Puis, le lendemain, le 3 octobre, il est à nouveau reparti sur Paris pour subir un contrôle postopératoire, selon Le 360, le journal en ligne le plus proche du Palais. La Société française d’ophtalmologie explique, sur son site, qu’après cette opération « les soins sont limités à l’instillation de gouttes et l’application d’une pommade », ainsi qu’à une protection oculaire pendant deux ou trois jours. Pour se soumettre à cette révision, Mohamed VI est pourtant resté en France dix jours, jusqu’à la veille de la réouverture des deux chambres du Parlement, le 13 octobre.

Un « lapin » pour le premier ministre russe

Juste avant, du 10 au 12 octobre, le premier ministre russe Dimitri Medvedev avait effectué sa première visite officielleà Rabat, mais il n’a pas été reçu par le souverain qui se trouvait encore entre Betz et Paris. Saad-Eddine Al-Othmani, le chef du gouvernement, a transmis à son hôte russe « les excuses [du roi] qui, pour des raisons de santé, ne peut se réunir avec vous (…) », selon l’agence de presse moscovite Itar-Tass. La presse marocaine n’a quant à elle donné aucune explication sur cette audience royale à Medvedev, annoncée par certains journaux comme L’Économiste, mais qui finalement n’a pas eu lieu. Elle a rapporté, en revanche, que le souverain avait offert un déjeuner à Medvedev, oubliant parfois de préciser qu’il n’y était pas présent.
Le « lapin » posé à Medvedev n’est pas vraiment une surprise. La liste des rendez-vous manqués par le monarque est longue. L’un des plus frappants fut son absence — il était encore en France — lors de la visite à Rabat de Tayyip Recep Erdogan, alors premier ministre de Turquie, en juin 2013. Celui-ci écourta son séjour et renonça à recevoir le titre de docteur honoris causa de l’université Mohamed V, laissant ainsi entrevoir son mécontentement. Al-Othmani, à l’époque ministre des affaires étrangères, avait pourtant annoncé à l’agence de presse turque Anadolu que le roi serait bien à Rabat pour recevoir l’hôte turc.
De nombreux courtisans, serviteurs et gardes du corps accompagnent le souverain lors de ses déplacements. Ils logent pour la plupart dans les hôtels de l’Oise proches du château, fréquentent les restaurants et font tourner l’économie locale. L’épicière de la supérette de Betz confiait récemment à la chaîne de télévision France 3 qu’elle aurait dû fermer si le château ne lui passait pas de grosses commandes. Combien sont-ils dans l’entourage itinérant du roi ? Leur nombre n’a été dévoilé qu’une fois, en décembre 2004, lors de ses vacances à Punta Cana (République dominicaine). Ils étaient alors 300, selon le secrétariat d’État au tourisme de Saint-Domingue.

Des selfies sur Facebook

Pendant ses congés le roi donne régulièrement de ses nouvelles aux Marocains d’une façon un peu particulière : des photos postées sur la page Facebook d’un certain Soufiane El-Bahri. Ce jeune homme mystérieux, qui dit avoir 26 ans, a pratiquement le monopole des photos de Mohamed VI, souvent des selfies avec des immigrés marocains pris lors de ses voyages. À Paris ils sont nombreux, mais à Miami ou à Prague il faut que les consulats du Maroc remuent ciel et terre pour les rassembler à l’hôtel où loge le souverain. À Hong Kong, en décembre 2015, le consul a été incapable de trouver un seul Marocain susceptible de se faire photographier.
Trois jours après son opération, le roi est apparu sur une photo avec un t-shirt noir et un bandeau blanc lui couvrant l’œil gauche dans une librairie parisienne. Parfois, la photo — que des journaux marocains s’empressent de reproduire — est accompagnée d’une légende disant que l’immigré (ou quelquefois aussi le passant français féru du Maroc) exprime sa joie d’avoir pu rencontrer le souverain, qui s’est montré attentionné à son égard.
Soufiane El-Bahri assure, dans les rares déclarations qu’il a faites à la presse, que les photos (parfois aussi des vidéos) lui sont spontanément envoyées par ceux qui ont eu la chance de se faire photographier avec Mohamed VI à travers le monde. Il est plus vraisemblable que c’est l’entourage royal qui les lui fait parvenir pour montrer, sans passer par une filière officielle de distribution, sa popularité au-delà des frontières du Maroc. Le monarque apparaît ainsi bien plus en photo avec des Marocains résidant à l’étranger que dans son propre pays.

Betz, capitale du Maroc

Aux séjours en dehors du Maroc s’ajoutent les vacances de Mohamed VI dans son royaume, dont il est plus difficile d’évaluer la durée car la presse n’en précise pas les dates. Elles se sont déroulées cet été, comme d’habitude, à M’diq, sur la côte méditerranéenne entre Tétouan et Ceuta. Elles incluent, en général, une virée à Al-Hoceima qui cette année n’a pas eu lieu à cause, sans doute, de la tension qui prévaut dans le Rif. Plusieurs ministres marocains-> http://telquel.ma/2017/06/27/voici-liste-responsables-prives-vacances-instructions-royales_1551926] n’ont en revanche pas eu droit à des congés cette année. Le roi les en avait privés le 25 juin, pour qu’ils se consacrent à fond à faire avancer le dossier embourbé du développement du Rif.
Les fréquentes escapades royales à l’étranger suscitent bien des plaisanteries sur les réseaux sociaux. « Quels sont les deux pays africains qui ont déménagé leurs capitales ? », se demandait, par exemple, un usager de Twitter, avant de répondre lui-même : « Le Nigeria, de Lagos à Abuja, et le Maroc, de Rabat à Betz ». Mais au-delà des quolibets presque personne, ni au Maroc ni à l’étranger, ne se penche ouvertement sur les conséquences des absences prolongées d’un chef d’État dont les pouvoirs, contrairement aux monarques européens, n’ont rien de protocolaire. La nouvelle Constitution de 2011 place encore entre ses mains l’essentiel du pouvoir exécutif. Son absentéisme est un cas unique dans le monde contemporain ; les diplomates et les think tanks de l’Europe du Sud en parlent souvent en catimini, mais personne n’ose s’exprimer en public.

« Un problème constitutionnel, politique et moral »

Dans ces conversations en sourdine pointe parfois une légère inquiétude à propos de la stabilité du Maroc, à cause de ces absences réitérées qu’aucun officiel marocain n’explique vraiment à ses interlocuteurs européens. L’exercice quotidien du pouvoir pèse-t-il trop à Mohamed VI ? A-t-il régulièrement besoin de se sentir plus libre sous d’autres cieux ? Il n’y a en tout cas apparemment pas de vacance du pouvoir. Quand le roi n’est pas là, le royaume est gouverné par son bras droit, son conseiller royal Fouad Ali Al-Himma. Ils sont amis depuis le temps où ils étaient assis ensemble sur les bancs du collège royal à Rabat. La presse appelle parfois Himma « le vice-roi ». Pour avoir accès au souverain il faut passer par lui, même si l’on possède le titre de conseiller royal ou si on préside le gouvernement.
L’un de rares à avoir osé écrire sur les exils volontaires du souverain est le journaliste marocain Ali Anouzla. « Mohamed VI, qui accumule autant de titres royaux, a-t-il le droit de s’absenter si souvent et pendant si longtemps sans même annoncer la date de son voyage et sa durée ? », se demanda-t-il dans un éditorial de Lakome, son journal en ligne, publié le 4 juin 2013, juste à la fin d’un séjour du monarque de cinq semaines en France. Le roi est, en effet, non seulement chef de l’État marocain, mais aussi Commandeur des croyants, commandant en chef des forces armées royales, président du conseil des ministres, du conseil supérieur de la magistrature et du conseil supérieur des oulémas. « L’absentéisme du roi pose à la fois un problème constitutionnel, politique et moral », concluait Anouzla.
Mal lui en a pris de coucher ses réflexions sur papier. Trois mois après, le 17 septembre 2013, Anouzla est arrêté et son journal fermé, officiellement pour y avoir mis un lien qui conduisait à la première vidéo, intégralement consacrée au Maroc, d’Al-Qaida au Maghreb islamique (AQMI). Ce document figurait sur le blog « Orilla sur » du quotidien espagnol El País. Anouzla a été inculpé pour « fourniture d’une assistance matérielle » et « incitation aux actes terroristes ». Il est resté cinq semaines en prison, mais son procès n’a toujours pas eu lieu. Le lien menant à la vidéo était un prétexte, selon la presse indépendante. Il lui était surtout reproché d’avoir mis à jour, en août 2013, le rôle calamiteux du Palais royal dans la grâce octroyée par erreur au pédophile espagnol Daniel Galván et, deux mois auparavant, son éditorial sur les longues vacances royales, qui avait eu un certain écho à l’étranger.

Maroc : Le séisme de Mohamed 6 : Il limoge 43 généraux


A l’occasion de l’ouverture de la nouvelle saison parlementaire au Maroc, le Roi Mohamed 6 a parlé de séisme, en faisant allusion aux réformes qui doivent être mises en place.
Et en termes de séisme, il a réussi le sien, en annonçant le limogeage de pas moins de 43 généraux de l’armée, qui occupaient presque tous des postes clés dans l’armée.
Les raisons de ce large mouvement n’ont pas été éventées.

Poll: Donald Trump is under water in Indiana

talked about these Hoosiers on his visits to Indiana. Nate Chute/IndyStar
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President Donald Trump's approval rating is upside down in Indiana, according to a new poll.
Just 41 percent approve of the job Trump is doing as president, compared to 45 percent who disapprove, according to the results of the Old National Bank/Ball State University 2017 Hoosier Survey.
The negative approval rating suggests a significant decline in support for Trump since he won the home state of his vice president, Mike Pence, by a margin of 19 percentage points nearly a year ago.
“These survey results add to the evidence that the president’s approval has slipped a great deal since January,” said Chad Kinsella, a political science professor at the Bowen Center for Public Affairs, which conducts the annual survey.
Other recent polling by Morning Consult showed Trump's approval rating in Indiana fell from plus 22 percentage points in January to plus 5 in September. 
 ”These results from October put his approval underwater in the state, with negative 5 approval," Kinsella said.
But Trump's support among his base remains strong, Kinsella said, with 77 percent approval among Republicans.
That's the group that Indiana Republican Party Chairman Kyle Hupfer focused on in a statement responding to the poll.
"Hoosier Republicans proudly support President Trump and Vice President Pence because of their unwavering commitment to reform our broken tax code and rid us of Obamacare’s stranglehold on our economy all while keeping America and Americans safe," he said. 
But Indiana Democratic Party Chairman John Zody said the poll reflects growing discontent among Hoosiers. 
“Our president likes to make big promises. So far, he hasn’t delivered,” he said. “These polling numbers reflect Hoosiers’ rapidly mounting frustration with the President’s failure to articulate a vision that lifts up working families and his inability to get anything done.” 
The poll surveyed 600 adult Hoosiers. The margin of error was plus or minus 5.3 percentage points.
Call IndyStar reporter Tony Cook at (317) 444-6081. Follow him on Twitter and Facebook.

dimanche 17 septembre 2017

The world as we know it is about to end — again — if you believe this biblical doomsday claim


Sept. 23 is 33 days since the Aug. 21 total solar eclipse, seen here over Grand Teton National Park in Wyoming. Some people believe that is significant. (George Frey/Getty Images)
A few years ago, NASA senior space scientist David Morrison debunked an apocalyptic claim as a hoax.
No, there’s no such thing as a planet called Nibiru, he said. No, it’s not a brown dwarf surrounded by planets, as iterations of the theory suggest. No, it’s not on a collision course toward Earth. And yes, people should “get over it.”
But the theory has been getting renewed attention recently. Added to it is the precise date of the astronomical event leading to Earth’s destruction. And that, according to David Meade, is in six days — Sept. 23, 2017. Unsealed, an evangelical Christian publication, foretells the Rapture in a viral, four-minute YouTube video, complete with special effects and ominous doomsday soundtrack. It’s called “September 23, 2017: You Need to See This.”
Why Sept. 23, 2017?
Meade’s prediction is based largely on verses and numerical codes in the Bible. He’s honed in one number: 33.
“Jesus lived for 33 years. The name Elohim, which is the name of God to the Jews, was mentioned 33 times [in the Bible],” Meade told The Washington Post. “It’s a very biblically significant, numerologically significant number. I’m talking astronomy. I’m talking the Bible … and merging the two.”
And Sept. 23 is 33 days since the Aug. 21 total solar eclipse, which Meade believes is an omen.
 Play Video 1:33
How did people view solar eclipses in the past?
Capital Weather Gang's Angela Fritz takes us back in time to show how mankind has reacted to eclipses over thousands of years. (Claritza Jimenez, Daron Taylor, Angela Fritz/The Washington Post)
He points to the Book of Revelation, which he said describes the image that will appear in the sky on that day, when Nibiru is supposed to rear its ugly head, eventually bringing fire, storms and other types of destruction.
The book describes a woman “clothed with the sun, with the moon under her feet and a crown of twelve stars on her head” who gives birth to a boy who will “rule all the nations with an iron scepter” while she is threatened by a red seven-headed dragon. The woman then grows the wings of an eagle and is swallowed up by the earth.
The belief, as previously described by Gary Ray, a writer for Unsealed, is that the constellation Virgo — representing the woman — will be clothed in sunlight, in a position that is over the moon and under nine stars and three planets. The planet Jupiter, which will have been inside Virgo — in her womb, in Ray’s interpretation — will move out of Virgo, as though she is giving birth.
To make clear, Meade said he’s not saying the world will end Saturday. Instead, he claims, the prophesy in the Book of Revelation will manifest that day, leading to a series of catastrophic events that will happen over the course of weeks.
“The world is not ending, but the world as we know it is ending,” he said, adding later: “A major part of the world will not be the same the beginning of October.”
Meade’s prediction has been dismissed as a hoax not only by NASA scientists, but also by people of faith.
Ed Stetzer, a pastor and executive director of Wheaton College’s Billy Graham Center, first took issue with how Meade is described in some media articles.
“There’s no such thing as a Christian numerologist,” he told The Post. “You basically got a made-up expert in a made-up field talking about a made-up event. … It sort of justifies that there’s a special secret number codes in the Bible that nobody believes.”
Meade said he never referred to himself as a Christian numerologist. He’s a researcher, he said, and he studied astronomy at a university in Kentucky, though he declined to say which one, citing safety reasons. His website says he worked in forensic investigations and spent 10 years working for Fortune 1000 companies. He’s also written books. The most recent one is called “Planet X — The 2017 Arrival.”
Stetzer said that while numbers do have significance in the Bible, they shouldn’t be used to make sweeping predictions about planetary motions and the end of Earth.
“Whenever someone tells you they have found a secret number code in the Bible, end the conversation,” he wrote in an article published Friday in Christianity Today. “Everything else he or she says can be discounted.”
That is not to say that Christians don’t believe in the Bible’s prophesies, Stetzer said, but baseless theories that are repeated and trivialized embarrass people of faith.
“We do believe some odd things,” he said. “That Jesus is coming back, that he will set things right in the world, and no one knows the day or the hour.”
The doomsday date was initially predicted to be in May 2003, according to NASA. Then it was moved to Dec. 21, 2012, the date that the Mayan calendar, as some believed, marked the apocalypse.
Morrison, the NASA scientist, has given simple explanations debunking the claim that a massive planet is on course to destroy Earth. If Nibiru is, indeed, as close as conspiracy theorists believe to striking Earth, astronomers, and anyone really, would’ve already seen it.
“It would be bright. It would be easily visible to the naked eye. If it were up there, you could see it. All of us could see it. … If Nibiru were real and it were a planet with a substantial mass, then it would already be perturbing the orbits of Mars and Earth. We would see changes in those orbits due to this rogue object coming in to the intersolar system,” Morrison said in a video.
Doomsday believers also say that Nibiru is on a 3,600-year orbit. That means it had already come through the solar system in the past, which means we should be looking at an entirely different solar system today, Morrison said.
“Its gravity would’ve messed up the orbits of the inner planets, the Earth, Venus, Mars, probably would’ve stripped the moon away completely,” he said. “Instead, in the intersolar system, we see planets with stable orbits. We see the moon going around the Earth.”
And if Nibiru is not a planet and is, in fact, a brown dwarf, as some claims suggest — again, we would’ve already seen it.
“Everything I’ve said would be worse with a massive object like a brown dwarf,” Morrison said. “That would’ve been tracked by astronomers for a decade or more, and it would already have really affected planetary objects.”
Some call Nibiru “Planet X,” as Meade did in the title of his book. Morrison said that’s a name astronomers give to planets or possible objects that have not been found. For example, when space scientists were searching for a planet beyond Neptune, it was called Planet X. And once it was found, it became Pluto.
Stetzer, the pastor, encouraged Christians to be critical, especially in an information era marred with fake news stories.
“It’s simply fake news that a lot of Christians believe the world will end on September 23,” Stetzer wrote. “Yet, it is still a reminder that we need to think critically about all the news.”
He took issue with a Fox News story with a headline that appears to give credence to the doomsday theory — and was published in the Science section under the label “Planets.”
“Every time end-of-the-world predictions resurface in the media, it is important that we ask ourselves, Is this helpful?’ ” Stetzer wrote. “Is peddling these falsehoods a good way to contribute to meaningful, helpful discussions about the end of times?”

Julie Zauzmer contributed to this story.

This Samsung Galaxy S9 Concept Has An iPhone X-Like Top ‘Notch’

Samsung’s latest flagship Galaxy Note 8 is now available in stores. Android fans and concept designers have now shifted focus to the next year’s Galaxy S9. Samsung’s rival Apple has just unveiledits brand new iPhone X with a bezel-less display and a top ‘notch.’ One concept designer tried to imagine a similar notch on Samsung’s next-gen flagship. This new Samsung Galaxy S9 concept highlights the all-screen front and the top cutout.
Samsung Galaxy S9 Concept Top Notch
Image Source: DBS Designing (screenshot)

The Samsung Galaxy S9 concept ‘notch’ looks better than iPhone X

The iPhone X’s front design looks beautiful, though some believe it’s an odd design choice. The latest Samsung Galaxy S9 concept comes from the YouTube channel DBS Designing. Samsung’s current flagship phones have no side bezels, though there are still slim bezels at the top and bottom. The concept has an all-screen display with virtual navigation buttons at the bottom.
At the very top of the front panel, you’ll notice a slim cutout that houses the front camera, ear speaker, the iris scanner, and other sensors. This Samsung Galaxy S9 concept might have been inspired by the iPhone X’s top notch, but it looks far more sleek and beautiful than Apple’s phone. The iPhone X cutout is more pronounced than the one you see in DBS Designing’s concept.

Icons for time and date can be seen on the left side of the notch. Other icons such as WiFi, cellular strength, and battery are on the right side. The concept phone features a loudspeaker, a 3.5mm headphone jack, and a USB Type-C port at the bottom. The designers believe Samsung won’t ditch the 3.5mm audio jack even though its rivals such as Apple have got rid of the feature.

The concept phone has dual cameras on front as well as back

The Samsung Galaxy S9 concept phone is made out of glass and metal, similar to its predecessor. DBS Designing imagined the device featuring an Infinity OLED display with a Quad HD+ resolution and an 18:9 aspect ratio. The fingerprint sensor is integrated into the display. That is unlikely to be true because Samsung is still struggling with the fingerprint scanner. The feature is expected to debut with the Galaxy Note 9 in the second half of 2018.
The Samsung Galaxy S9 concept runs Android 8.1 Oreo. It is powered by 6GB RAM and packs 128GB of internal storage. There is also a 3,600mAh battery. The device would run Qualcomm’s upcoming Snapdragon 845 SoC. Samsung has signed a deal with Qualcomm that makes it the first smartphone vendor to get the initial supply of Snapdragon 845.
DBS Designing imagines the S9 with a dual camera system on the back. It consists of two 18-megapixel sensors. The device also has a dual camera setup on the front, which includes two 13-megapixel snappers for selfies.
Will the actual Galaxy S9 feature a top ‘notch’ like iPhone X? Samsung has not confirmed it, but it’s entirely possible. The Korean company was recently granted the patent for a similar cutout at the top of a smartphone. The patent was filed in May 2016, long before rumors about the iPhone X began surfacing. The patent was granted by the Korea Intellectual Property Rights Information Service (KIPRIS).

Galaxy S9 rumored specs

According to XDA Developers, the Galaxy S9 and S9 Plus will have model numbers SM-G960 and SM-G965. They will retain the 5.7-inch and 6.2-inch screens from their predecessors. However, the Galaxy S9 and S9 Plus would offer only 4GB RAM and 64GB of base storage, sources told XDA Developers. Of course, Samsung will include a microSD card slot for further memory expansion. Just like Galaxy S8, the S9 will have a rear-mounted fingerprint scanner.
Previously, Korean site ETNews had reported that Samsung would use a Substrate-like PCB (SLP) mainboard in the Galaxy S9. The SLP mainboard will free up some internal space that could be utilized to make the device slimmer or add new features. The Galaxy S9 is expected to have a dedicated Bixby button on the side to activate Samsung’s AI assistant.
KGI Securities analyst Ming-Chi Kuo recently revealed that the Galaxy S9’s dual camera system would be similar to the Galaxy Note 8. It means the setup would consist of a wide-angle lens and a telephoto lens, both of which will offer optical image stabilization (OIS) to help you capture high-quality images even in low-light conditions. The telephoto lens allows for 2x optical zoom.

Galaxy S9 to be unveiled in January?

Samsung traditionally launches the new Galaxy S phones in February or March. The Galaxy S8, which launched in April, was an exception because its release was pushed back due to the Note 7 debacle. However, Korean media claims the Galaxy S9 could be unveiled as early as January next year. The development of the S9 display panel started in April 2016, about 2-3 months ahead of Samsung’s usual timeline.
According to The Investor, the S9 will be unveiled in January and go on sale in February.  Sources told the publication that Samsung Display would start shipping OLED panels for the Galaxy S9 in November. Display panels are the first components to be shipped. From there, it takes about 2-3 months to fully assemble the first batch of smartphones.
The Investor claims Samsung is bringing the flagship device earlier than usual to defend its market share against Apple’s 10th anniversary iPhone X, which will hit the stores on November 3rd. The iPhone X is expected to see brisk sales during the holiday quarter.

How long should a $999 iPhone last?

I usually spend about $1,300 on a new computer, and I usually expect it to stay in good shape for about four years — if not more. So if I’m spending over $1,000 on an iPhone, how long should I expect to use it for?
Smartphones have never had the longevity that modern computers have, often staying current for only two or so years. There are a good number of reasons why: For one, smartphones are historically cheaper, so it makes sense that companies would expect them to be replaced a bit sooner. But more importantly, smartphones are evolving at such a rapid pace that there’s frequently a good reason to buy a new phone every couple of years.
Sometimes, this is a good thing: in the last two years, many phones have added second cameras, much better image processing, HDR displays, and the increasingly universal USB-C connection standard — all reasons you might want to buy one. But other times, the continued improvements lead to big issues for people who’d rather not upgrade so often: after a couple of years, apps just tend to get slow. And often, unusably slow.

Like other smartphone features, processors are improving at an incredible pace — sometimes dramatically from year to year. And with developers routinely targeting the latest and great smartphones in order to make their apps capable of doing more than ever, people who don’t keep buying new smartphones may be left with a sluggish experience after only a couple of years.
The situation hasn’t gotten that much better. My iPhone 4S was getting hard to use after just two years. And while my iPhone 5S was still in relatively good shape after two years, its age was starting to show as I loaded up newer versions of iOS. This problem isn’t exclusive to iPhones either — my current phone, a Nexus 5X made by Google and LG, has become painfully slow when taking photos less than two years on. I haven’t owned newer iPhones, but I’m told they still start to see the same battery life and sluggishness issues past the two year mark. That’s not a huge surprise: we put a ton of wear and tear on these things, while technology is racing ahead.So will the iPhone X buck all of that and last buyers longer into the future? I’m not so sure that it will. The iPhone X uses the same processor that’s inside of the iPhone 8, and there’s no doubt that Apple will release a new phone next year with an even faster processor, and same with the year after that. Even though the iPhone X has more advanced cameras and a future-facing design, the processor is going to age just as fast as every other iPhone.


There’s almost an implication here that the iPhone X isn’t built to last. At $999, this is a phone for tech enthusiasts and people with large amounts of disposable income, who will buy this in part to have the flashiest phone they can get — its distinctions are not meant to help pros who need more technical capabilities, after all; they’re largely aesthetic improvements and entertaining flourishes. If Apple releases an X2 next year (or maybe an XI?) and the X is no longer cutting edge, I suspect this same group of people will consider buying yet another iPhone.
For a more typical smartphone customer, who might like the idea of splurging on an iPhone X but doesn’t replace their phone every year, that isn’t a tenable proposition. And the idea that a $999 phone might age just as fast as a $699 phone — the price of the iPhone 8 — is to me, at least, quite frustrating. It doesn’t seem unreasonable to expect such an expensive device to last more than a couple of years.

This rapid aging wasn’t as much of an issue back when we were all (in the US, at least) locked into two-year contracts with our phone carriers, and most of the price of a new smartphone was hidden away — it just made sense to upgrade if you had the means.
In fact, you used to be discouraged from holding onto a phone for longer than two years. Phone carriers like Verizon and AT&T hid a device fee inside their monthly bills, which covered the cost of the subsidized phones they gave out. Keeping a phone for longer than your contract period meant you’d be paying for a new device even as you were using an old one. (This also means that slow upgraders may well have already paid more than $1,000 for a phone, simply by losing the money to hidden fees.)
But carriers have stopped doing that, and you’re now given a clear choice of how much to spend and how often. If you decide to go with an iPhone X, you may be looking at $1,000 every couple years. As long as phones are improving this quickly, it might make sense to spend less and upgrade just as frequently.
Of course, not everyone will see the need to upgrade after just two years. If you add a battery pack, battery life issues go away. If you don’t use a ton of apps, performance issues may not matter as much. And Apple doesn’t actually introduce groundbreaking features all that often. If you haven’t purchased a phone since the iPhone 5S, the biggest features you’d have missed out on were bigger screens, mobile payments, and an optional second camera. I guess you could throw 3D Touch in there, but I’m not convinced that feature has sold a single phone.

From that perspective, iPhones — and smartphones in general — may have a longer lifespan than many of us absorbed in the tech world would let on. I know plenty of people who hang onto phones for far longer than two years, even though I tend to grow impatient with my own two-year-old phones. Chances are, the iPhone X won’t grow dated through the introduction of revolutionary new features within the next two or three years. But that doesn’t guarantee it’ll remain a snappy performer with all-day battery life that far down the road.
And that’s really the problem I worry about. Even if you want to hang onto an iPhone X for three or four years, I think there’s an open question of how well it’ll run at that point. Every phone and computer has to slow down eventually, but when you invest more into one, you usually expect it to hang on somewhat longer. The iPhone X will likely age as quickly as any other iPhone — it’ll just look better while doing it.

Bangladesh restricts Rohingya refugees, starts immunization

Eric P. Schwartz, head of the U.S.-based charity Refugees International and a former assistant secretary of state for population, refugees and migration, said he couldn’t recall seeing so much misery in the camps and called for international pressure on Myanmar to stop the violence.
“The stories that we are hearing. I visited a hospital yesterday, children ages 1, 5, 10 suffered burn wounds, gunshot wounds and with human beings essentially treated like animals,” he said.
He said the U.S. should re-impose sanctions on Myanmar that were in place before it made transition from military to civilian rule.
Officials in Washington have been careful not to undermine the weak civilian government of Nobel Peace laureate Aung San Suu Kyi, which took office last year, ending five decades of ruinous army rule. The military remains politically powerful and the nation’s constitution enshrines military authority over all security operations.


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samedi 12 août 2017

Gagner de l'argent avec forex

Vous êtes à la recherche de solutions pour gagner de l’argent immédiatement, car vous en avez besoin.
Il existe beaucoup de solutions, mais beaucoup d’entre elles nécessitent du temps ( nouveau travail, complément de revenu, extra, vente de matériel … )
Vous n’avez peut-être pas ce temps et le trading peut faire partie des solutions à envisager pour se sortir d’une mauvaise posture.
Aussi, je tiens à vous mettre en garde , pour se lancer dans le trading, il vaut mieux connaitre ses principes et bien assimiler ses règles.
Et c’est ce à quoi va servir cet article.
Vous donner tous les conseils nécessaires pour vous lancer dans le trading sans prendre de risques avec les bonnes techniques à adopter.
Et avec cela, vous allez pouvoir gagner de l’argent rapidement pour répondre à une urgence spécifique.
Le trading Forex nécessite quelques connaissances et si vous souhaitez optimiser les profits que vous réaliserez, je vais aujourd’hui vous donner quelques petites astuces.
Bien sûr, elles ne vous permettront pas de finir systématiquement gagnant lors de vos trades mais elles vous permettront à coup sûr d’optimiser vos gains tout en limitant vos pertes.
Ces 10 conseils vous donnent toutes les clés pour débuter votre activité de trader sur le Forex.
Avant de lire ces 10 conseils, vous pouvez commencer par vous inscrire sur la plateforme de trading primée ParagonEx d’UFX en cliquant sur le bouton rouge ci-dessous.
Cette plateforme vous fournira un tableau de bord intuitif qui vous fournira toutes les informations dont vous avez besoin, des graphiques mis à jour et les dernières actualités au moment où vous tradez.
De plus, une équipe d’assistance est prête à vous assister 24h/24 pour que vous puissiez gérer rapidement et facilement votre argent en toute sécurité.

Inscription au Forex

1/ Comprendre les mécanismes du Forex avant de vous lancer

C’est selon moi la base de la réussite de vos trades, c’est la pratique.
Je vous invite à débuter votre trading en jouant avec de l’argent fictif dans un premier temps.
Cela vous aidera à acquérir une expérience de trading. Bien entendu, pour que celle-ci soit enrichissante, vous chercherez systématiquement à comprendre pourquoi votre trade a connu le succès ou bien pourquoi il a été un échec.
C’est selon moi la meilleure manière de comprendre les mécanismes du Forex.

2/ Miser sur des profits de moyen terme

La présence d’effet de levier important sur le Forex pousse souvent les traders à rechercher un profit important de court terme.
Si cela apparait comme une logique pour les traders aguerris, je conseille vivement aux débutants de rechercher plutôt du profit de moyen terme en optant pour des effets de levier moins important. Cela vous permettra de pouvoir réaliser des profits sans toutefois vous exposer à un risque de pertes trop importantes.
Qu’est qu’un effet de levier ?
Pour donner un exemple concret, si vous faites une transaction à un effet de levier de 1:100, ou X100, cela signifie que pour chaque 1 € investit dans le marché, le courtier investit 100 €.
Vous pouvez donc contrôler un montant de 10,000 € en investissant 100 €.
La plupart des Brokers offrent aux traders la possibilité d’utiliser gratuitement un levier jusqu’à 1:400. Ce qui vous offre plus de chance de gagner de l’argent

3/ Savoir tirer profit de ses trades perdants

Il ne faut surtout pas voir un trade perdu comme un échec. Au contraire, il faut apprendre de ceux-ci afin de ne pas réitérer de mauvais choix ultérieurement

4/ Toujours prendre des décisions réfléchies

Beaucoup de débutants pensent parfois qu’une simple intuition peut suffire pour lancer un trade.
Attention, la chance existe, mais vous avez plus de chances de perdre que de gagner en agissant ainsi.
De même, une information économique ou financière ne doit pas suffire à prendre une décision d’investissement.
De manière générale, les trades gagnants sont le fruit d’une réflexion et d’une analyse approfondie des évolutions d’un cours.

5/ Toujours jouer les tendances

Il n’existe pas de solutions miracles pour gagner à tous les coups. mais jouer dans les tendances des cours peut vous assurer de gagner dans 90% des cas.
Avec un peu d’expérience, vous arriverez à décrypter les moments où les tendances risqueront de se retourner, et c’est à ce moment-là vous arriverez à optimiser vos gains.

6/ Toujours trader aux mêmes heures

Même si le Forex est ouvert très souvent, je vous déconseille de chercher à jouer n’importe quand.
Il faut à tout prix éviter les périodes où les cours sont imprévisibles. C’est en particulier le cas du vendredi soir et du dimanche midi.
Essayez de jouer tout le temps à la même heure. En effet, d’un jour sur l’autre, il est possible pour de nombreuses paires de devises (sauf si information économique ou financière importante) de retrouver des similitudes quant au comportement des cours ce qui peut vous aider au moment de prendre vos décisions d’investissement

7/ S’intéresser à l’actualité

Les fluctuations des cours de devises sont en grande partie liée à l’actualité macroéconomique des États.
En effet, le montant de la dette, les chiffres du chômage ou encore des décisions politiques sont autant d’annonces qui peuvent provoquer de véritables évolutions de cours.

8/ Jouer juste entre trade risqué et trade assuré

C’est là l’une des bases du money management. En effet, afin d’éviter de perdre de l’argent, je vous conseille de compenser tout trade risqué mais de petit montant par des trades sans risque de plus gros montant.
Ainsi, si le trade risqué venait à être perdu, votre autre trade viendrait contrebalancer

9/ Bien prendre en compte les spécificités des paires de devises

Chaque paire de devises est différente et propose des spécificités qui lui sont propres.
Ainsi, si certaines sont plutôt faciles à trader du fait de leurs faibles fluctuations (euro-dollar, cable, …), je vous déconseille totalement de trader des devises exotiques à moins que vous ne connaissiez parfaitement tous les rudiments du Forex.

10/ Ne pas devenir addict

Le trading Forex peut s’avérer passionnant et beaucoup y deviennent vite addict. C’est pour cela qu’il faut avoir conscience qu’il y a un moment pour s’arrêter.
Ce n’est pas parce que vous allez continuer de trader après dix trades remportés que vous gagnerez forcément.
De même, après des trades perdus, rien ne sert de vouloir se refaire à tout prix. Attention donc à savoir arrêter au bon moment.