Mercredi 1er mai, dans la soirée, l'un des trois fils de l'ex-Première dame de France a été arrêté par la police devant l'entrée d'un bateau-club du 13e arrondissement de Paris, selon «Closer».
Les pandores ont trouvé sur lui un gramme de MDMA (ndlr: méthylène-dioxy-methamphétamine), une drogue largement consommée dans les milieux nocturnes. Il a été placé en garde à vue, selon la procédure usuelle. Le lendemain après-midi, le procureur de la République l'a condamné à suivre une thérapie.Silence radio du côté des parents. Valérie Trierweiler a préféré partir en mission durant cinq jours en Haïti pour le Secours populaire. A son retour, elle a promis de parler d'Haïti à François Hollande pour susciter plus de solidarité en faveur du pays frappé en 2010 par un violent séisme.
Ce n'est pas la première fois que l'un des enfants de l'ex-compagne du président de la République est mis en cause dans une affaire de drogue. Fin 2013, l'hebdomadaire français«Le Point» évoquait dans ses pages l'interpellation de l'un des fils Trierweiler avec deux de ses camarades en octobre 2013, à Saint-Ouen, à Paris. Le trio s'était rendu dans ce quartier pour se fournir en cannabis. Mais, avait relevé l'hebdomadaire français à l'époque, le jeune consommateur n'avait pas été amendé et aucune poursuite judiciaire n'avait été décidée à son encontre. Depuis septembre 2013, en France, une amende doit être infligée sur le lieu de l'interpellation à l'acheteur de «shit».
Les pandores ont trouvé sur lui un gramme de MDMA (ndlr: méthylène-dioxy-methamphétamine), une drogue largement consommée dans les milieux nocturnes. Il a été placé en garde à vue, selon la procédure usuelle. Le lendemain après-midi, le procureur de la République l'a condamné à suivre une thérapie.Silence radio du côté des parents. Valérie Trierweiler a préféré partir en mission durant cinq jours en Haïti pour le Secours populaire. A son retour, elle a promis de parler d'Haïti à François Hollande pour susciter plus de solidarité en faveur du pays frappé en 2010 par un violent séisme.
Ce n'est pas la première fois que l'un des enfants de l'ex-compagne du président de la République est mis en cause dans une affaire de drogue. Fin 2013, l'hebdomadaire français«Le Point» évoquait dans ses pages l'interpellation de l'un des fils Trierweiler avec deux de ses camarades en octobre 2013, à Saint-Ouen, à Paris. Le trio s'était rendu dans ce quartier pour se fournir en cannabis. Mais, avait relevé l'hebdomadaire français à l'époque, le jeune consommateur n'avait pas été amendé et aucune poursuite judiciaire n'avait été décidée à son encontre. Depuis septembre 2013, en France, une amende doit être infligée sur le lieu de l'interpellation à l'acheteur de «shit».
(adi)